Découvrez la playlist Michel Michalakakos avec Jacques Burtin, Michel Michalakakos
samedi 15 mai 2010
dimanche 2 mai 2010
Plan 1000 visioconférences
Plus de 5000 élèves bénéficient des services Educastream depuis février 2009... ... pour apprendre l’anglais en direct de l’Angleterre !
Pourquoi Educastream est-il devenu le partenaire privilégié de l’Education nationale ?
■Afin de répondre aux objectifs de compétences fixés par le Cadre Européen Commun de Référence des langues, l’enseignement doit permettre aux élèves de s’ouvrir concrètement à une langue et sa culture.
■La visioconférence est apparue comme le moyen le plus efficace pour mettre en relation des classes d’élèves avec des locuteurs natifs, en direct de l’Angleterre, de manière à favoriser la compréhension et l’expression orale dans des conditions d’immersion optimales.
■Educastream offre un service ludo-éducatif unique qui permet la conversation "live" entre élèves et locuteurs natifs, illustrée par l’image à travers des milliers d’animations multimédias (composées de plus de 5000 photos, de centaines de fichiers son...), toutes conçues par des experts de l’enseignement, conformément aux programmes en vigueur
■Educastream s’appuie sur son réseau d’intervenants spécialisés, tous issus des plus prestigieuses universités anglaises (Oxford, Cambridge, UCL).
■La solution complète Educastream intègre l’aide à l’installation et la formation au dispositif, un encadrement technique et pédagogique assuré toute l’année, un accès illimité aux ressources pendant et en dehors des sessions de visioconférences d’anglais. Comment Educastream est-il devenu le partenaire de l’Education nationale ?
■Expérimentée avec succès auprès d’élèves d’école primaire depuis janvier 2007, Educastream a depuis reçu le soutien de l’Education nationale dans la généralisation de son dispositif de visioconférence d’anglais dans le cadre du plan "1000 visioconférences" annoncé par Xavier DARCOS le 11 septembre 2007.
■Depuis le 1er février 2008, Educastrea m est présent dans 25 villes, sur plus de 15 départements, après av oir été sélectionné par les Académies de Créteil, Versailles, Reims, Dijon et La Réunion.
■Le 20 mars 2008, une convention de partenariat a été signée avec L’Académie de Créteil visant à développer et proposer les visioconférence d’anglais Educastream sur ses trois départements (77,93,94).
■Le 2 décembre 2008, Educastream a remporté un appel d’offre lancé par le Rectorat de Créteil concernant le déploiement des visioconférences d’anglais sur 66 classes. Depuis février 2009, plus de 5000 élèves bénéficient des visioconférences d’anglais Educastream dans plus de 150 écoles !
Pourquoi Educastream est-il devenu le partenaire privilégié de l’Education nationale ?
■Afin de répondre aux objectifs de compétences fixés par le Cadre Européen Commun de Référence des langues, l’enseignement doit permettre aux élèves de s’ouvrir concrètement à une langue et sa culture.
■La visioconférence est apparue comme le moyen le plus efficace pour mettre en relation des classes d’élèves avec des locuteurs natifs, en direct de l’Angleterre, de manière à favoriser la compréhension et l’expression orale dans des conditions d’immersion optimales.
■Educastream offre un service ludo-éducatif unique qui permet la conversation "live" entre élèves et locuteurs natifs, illustrée par l’image à travers des milliers d’animations multimédias (composées de plus de 5000 photos, de centaines de fichiers son...), toutes conçues par des experts de l’enseignement, conformément aux programmes en vigueur
■Educastream s’appuie sur son réseau d’intervenants spécialisés, tous issus des plus prestigieuses universités anglaises (Oxford, Cambridge, UCL).
■La solution complète Educastream intègre l’aide à l’installation et la formation au dispositif, un encadrement technique et pédagogique assuré toute l’année, un accès illimité aux ressources pendant et en dehors des sessions de visioconférences d’anglais. Comment Educastream est-il devenu le partenaire de l’Education nationale ?
■Expérimentée avec succès auprès d’élèves d’école primaire depuis janvier 2007, Educastream a depuis reçu le soutien de l’Education nationale dans la généralisation de son dispositif de visioconférence d’anglais dans le cadre du plan "1000 visioconférences" annoncé par Xavier DARCOS le 11 septembre 2007.
■Depuis le 1er février 2008, Educastrea m est présent dans 25 villes, sur plus de 15 départements, après av oir été sélectionné par les Académies de Créteil, Versailles, Reims, Dijon et La Réunion.
■Le 20 mars 2008, une convention de partenariat a été signée avec L’Académie de Créteil visant à développer et proposer les visioconférence d’anglais Educastream sur ses trois départements (77,93,94).
■Le 2 décembre 2008, Educastream a remporté un appel d’offre lancé par le Rectorat de Créteil concernant le déploiement des visioconférences d’anglais sur 66 classes. Depuis février 2009, plus de 5000 élèves bénéficient des visioconférences d’anglais Educastream dans plus de 150 écoles !
jeudi 29 avril 2010
Mai Francophone de Beyrouth
Semaine du français, des lettres et des sciences humaines.
A l’occasion de cette première semaine de mai, riche en événements, se tiendront plusieurs rencontres intéressant le français, les lettres et les sciences humaines.
Cette semaine est organisée en partenariat avec l’AUF et ses réseaux et est appuyée par les ambassades de Belgique, du Canada et de France. 3 universités sont impliquées dans cet événement (Université Libanaise, Université Saint-Esprit de Kaslik, Université Saint-Joseph) qui accueillera des intervenants issus de 30 pays (dont 9 de la région du Moyen-Orient).
3èmes Journées scientifiques de USJ et DCAM à l’USJ les 3 et 4 mai
Ces 3èmes journées scientifiques sont organisées conjointement par l’USJ et le réseau de chercheurs de l’AUF, DCAM, sur le thème « Théories de la diversité culturelle et de la mondialisation ».
Réunion régionale des DUF à l’USEK le 5 mai
La réunion régionale des DUF est une réunion annuelle organisée chaque année par le Bureau Moyen-Orient de l’AUF. Elle est organisée depuis maintenant trois ans.
Elle réunit les responsables universitaires pour l’enseignement du français (cadres des départements de français, des centres de langues, des instituts de traduction et autres structures universitares impliquées dans l’enseignement du français dans les établissements membres de l’AUF au Moyen-Orient). Les responsables discutent alors des orientations concrètes à prendre pour le renforcement du français universitaire.
Cette réunion annuelle comprendra une réflexion sur les axes de recherche et la pertinence d’une école doctorale régionale et des ateliers de travail sur le passage au LMD, la professionnalisation de la formation en littérature et le marché de l’emploi des étudiants diplômés de littérature ou de langue française. Une soixantaine de responsables de DUF issus de 9 pays de la région sont attendus.
Colloque et assemblée générale de l’AFELSH à l’USJ les 6 et 7 mai
Organisé par le réseau institutionnel de l’AUF, l’AFELSH, le colloque portera sur « Les dispositifs et les stratégies de valorisation de la recherche pour les Facultés des arts, lettres, sciences humaines et sociales ».
Assises du FLU de l’UL et de l’AUF les 7 et 8 mai
L’AUF et l’Université Libanaise (UL), soutenues par les services culturels de l’Ambassade de France dans le cadre du projet « appui à la rénovation de l’enseignement du français et en français à l’Université Libanaise », organisent les assises du Français Langue Universitaire. Ces assises feront se rencontrer les professionnels et spécialistes de l’enseignement de la langue à l’université. Elles seront l’occasion de présenter les différents projets de réforme et leurs répercussions sur les méthodes pédagogiques utilisées et le statut du français dans le paysage universitaire.
En savoir plus sur la semaine
Mai Francophone de Beyrouth
Contact
Madame DEVIGNE Sylvie
Directrice déléguée aux programmes
Bureau Moyen-Orient
Agence Universitaire de la Francophonie
Tél. : 00 961 1 420 270
Tcpie : 00 961 1 615 884
@ : sylvie.devigne@auf.org
A l’occasion de cette première semaine de mai, riche en événements, se tiendront plusieurs rencontres intéressant le français, les lettres et les sciences humaines.
Cette semaine est organisée en partenariat avec l’AUF et ses réseaux et est appuyée par les ambassades de Belgique, du Canada et de France. 3 universités sont impliquées dans cet événement (Université Libanaise, Université Saint-Esprit de Kaslik, Université Saint-Joseph) qui accueillera des intervenants issus de 30 pays (dont 9 de la région du Moyen-Orient).
3èmes Journées scientifiques de USJ et DCAM à l’USJ les 3 et 4 mai
Ces 3èmes journées scientifiques sont organisées conjointement par l’USJ et le réseau de chercheurs de l’AUF, DCAM, sur le thème « Théories de la diversité culturelle et de la mondialisation ».
Réunion régionale des DUF à l’USEK le 5 mai
La réunion régionale des DUF est une réunion annuelle organisée chaque année par le Bureau Moyen-Orient de l’AUF. Elle est organisée depuis maintenant trois ans.
Elle réunit les responsables universitaires pour l’enseignement du français (cadres des départements de français, des centres de langues, des instituts de traduction et autres structures universitares impliquées dans l’enseignement du français dans les établissements membres de l’AUF au Moyen-Orient). Les responsables discutent alors des orientations concrètes à prendre pour le renforcement du français universitaire.
Cette réunion annuelle comprendra une réflexion sur les axes de recherche et la pertinence d’une école doctorale régionale et des ateliers de travail sur le passage au LMD, la professionnalisation de la formation en littérature et le marché de l’emploi des étudiants diplômés de littérature ou de langue française. Une soixantaine de responsables de DUF issus de 9 pays de la région sont attendus.
Colloque et assemblée générale de l’AFELSH à l’USJ les 6 et 7 mai
Organisé par le réseau institutionnel de l’AUF, l’AFELSH, le colloque portera sur « Les dispositifs et les stratégies de valorisation de la recherche pour les Facultés des arts, lettres, sciences humaines et sociales ».
Assises du FLU de l’UL et de l’AUF les 7 et 8 mai
L’AUF et l’Université Libanaise (UL), soutenues par les services culturels de l’Ambassade de France dans le cadre du projet « appui à la rénovation de l’enseignement du français et en français à l’Université Libanaise », organisent les assises du Français Langue Universitaire. Ces assises feront se rencontrer les professionnels et spécialistes de l’enseignement de la langue à l’université. Elles seront l’occasion de présenter les différents projets de réforme et leurs répercussions sur les méthodes pédagogiques utilisées et le statut du français dans le paysage universitaire.
En savoir plus sur la semaine
Mai Francophone de Beyrouth
Contact
Madame DEVIGNE Sylvie
Directrice déléguée aux programmes
Bureau Moyen-Orient
Agence Universitaire de la Francophonie
Tél. : 00 961 1 420 270
Tcpie : 00 961 1 615 884
@ : sylvie.devigne@auf.org
jeudi 22 avril 2010
lundi 19 avril 2010
Vient de paraître!
Les 500 EXERCICES DE PHONETIQUE (A1/A2)
Nature du contenu :Livre + CD
audioAuteur :Dominique Abry, Marie-laure Chalaron
Un nouvel ouvrage pour s'entraîner à la prononciation du français
pour les niveaux A1/A2
Structure :
Le système phonétique du français standard est travaillé en 4 étapes :
- observation et perception
- entraînement articulatoire, rythmique et intonatif
- phonie-graphie et dictée
- interprétation de textes poétiques
En début d'ouvrage, des conseils pour aider l'enseignant à construire des parcours d'apprentissage.
En fin d'ouvrage, les marques du français familier, un tableau récapitulatif "phonie-graphie", le "h" français et les corrigés de tous les exercices.
Inclus dans le manuel : un CD audio MP3 avec plus de 6h d'écoute
vendredi 16 avril 2010
Donner sa « Langue » au « Tchat » en 2010 !
QR code, ou la nouvelle communication du XXIème siècle.
En habillant le Palais de la Bourse de Tag 2D, la CCI Marseille Provence devient une CCI 2.0. Première CCI à faire rentrer la communication interactive dans sa relation avec le grand public, la CCI Marseille Provence anticipe ainsi la norme de demain et la généralisation des QR code.
L’essor des smartphones et de l’internet mobile révolutionne les usages en matière d’accès et de diffusion de l’information. Le QR code permet d’interagir avec l’environnement physique via le téléphone mobile, et ainsi multiplier les points de contacts et d’accès à l’information.
C'est quoi un QR code?
Composés de petits carrés noirs et blancs, les codes 2D ou QR code sont des codes barres intelligents. De quelques cm² et plusieurs m², ils peuvent facilement être imprimés et diffusés sur n’importe quel type de support. Développé depuis une quinzaine d’années par la société japonaise, Denso-Wave, le Quick Response Code utilise la caméra embarquée d’un téléphone mobile comme lecteur de code.
Plutôt que de saisir l’URL d’un site web sur son mobile, l’utilisateur photographie le code barre 2D via un logiciel – un lecteur de code – et accède directement au site internet sur son mobile. Simple d’utilisation, le QR code s’est rapidement répandu dès 2004 au Japon, en Corée du Sud et plus récemment en Europe et aux Etats-Unis.
Comment lire un QR code avec un smartphone ?
Pour pouvoir lire les tags ou QR code, il suffit de télécharger le logiciel « lecteur de code » :
- depuis un iphone : télécharger l’application gratuite « Beetagg pro » dans l’Apple Store ;
- depuis un smartphone : saisir l’URL http://get.beetagg.com dans le navigateur mobile et suivre les instructions pour installer l’application ;
depuis un blackberry : envoyer un sms au +44 762 480 24 86 avec le code BEE. Un SMS d’instructions est envoyé en retour pour télécharger l’application.
Les réfractaires aux smartphones peuvent toujours rentrer chez eux et se connecter directement « à l’ancienne » :
www.kodex.ccimp.com
mardi 13 avril 2010
Méthodes et méthodologies pour l’enseignement des langues étrangères.
Vidéocours de langue vivante : didactique des langues.
Méthodes et méthodologies pour l’enseignement des langues étrangères : ce cours a pour objectif de présenter les grands courants méthodologiques pour l’enseignement des langues vivantes à travers l’exemple du F.L.E.
Cadre européen commun, portfolio et éveil au langage : de nouveaux outils de référence - 49 mn
Le cours présente, dans le cadre des orientations renouvelée vers une didactique du plurilinguisme, des outils de références qui permettent sa mise en oeuvre pédagogique, depuis le cadre européen qui définit des compétences générales jusqu’aux supports de type portfolio (biographie linguistique de l’apprenant) et activité d’éveil au langage pour les jeunes enfants.
Visionner en ligne sur le site de l’université de Rennes:
http://www.univ-rennes2.fr/redirection/lairedu
Les amphis de France 5:
http://www.curiosphere.tv/programmes/index.cfm?espId=61&objId=9517&pageId=83615&discId=73
Nouvelle publication : Les langues pour la cohésion sociale : L’éducation aux langues dans une Europe multilingue et multiculturelle
Titre original:Languages for social cohesion: Language education in a multilingual and multicultural Europe (2009)
Synopsis
Le CELV «Les langues pour la cohésion sociale» du programme (2004-2007) participent environ 4500 professionnels de la langue de l'Europe et au-delà.
Cette publication met l'accent sur les principales évolutions dans l'enseignement des langues encouragée par les travaux du Centre européen pour les langues vivantes du Conseil de l'Europe (CELV). Il a trois fonctions principales. Premièrement, il résume les contributions du CELV à promouvoir la diversité linguistique et culturelle dans les sociétés européennes. Deuxièmement, il contient les actes de la Conférence du CELV, qui s'est tenu en Septembre 2007 à l'Université de Graz, à communiquer les résultats de ce programme à un public plus large. Troisièmement, il offre un aperçu des projets qui comprennent le prochain programme du CELV (2008-2011): «les professionnels en langues: compétences - réseaux - impact - qualité.
De cette manière, la publication à la fois donne un aperçu des questions et tendances actuelles dans l'enseignement des langues européennes et indique les perspectives pour l'avenir.
Contenu
1. Editors 'Avant-propos
2. Introduction
Langues pour la cohésion sociale: le programme 2004-2007 du CELV
Section 1: Points de vue du Conseil de l'Europe
3. Message à la Conférence du CELV 2007
4. Les travaux du Conseil de l'Europe dans les politiques linguistiques et des normes
Section 2: les conférenciers
5. La politique linguistique pour la cohésion culturelle et sociale
6. La cohésion sociale et l'apprentissage des langues
Section 3: La contribution des projets du CELV du programme 2004-2007
7. Les réalisations de la "A" volet des projets: Faire face à la diversité linguistique et sociale: Dispositions, profils, supports
8. Les réalisations de la "B" volet des projets: La communication dans une société multiculturelle: le développement des compétences interculturelles
9. Les réalisations de la "C" volet des projets: le développement professionnel et des outils de référence
10. Les réalisations de la "D" volet des projets: approches novatrices des nouvelles technologies dans l'enseignement et l'apprentissage des langues
Section 4: contributions d'experts externes sur les quatre volets thématiques de la conférence
Volet A: Faire face à la diversité linguistique et sociale
11. Multilinguisme et l'enseignement en langue maternelle à Umeå
12. Prenant la langue minoritaire au-delà de la minorité
13. Développer la sensibilisation parmi les enfants multilingues l'école primaire en Irlande: une étude de cas
14. Des enseignants en formation continue des enseignants de langues minoritaires: l'exemple estonien
Volet B: La communication dans une société multiculturelle
15. Multimodal de coopération et d'identification universitaires en français comme une langue académique
16. (Inter) la sensibilisation culturelle dans les programmes et les manuels scolaires pour les écoles publiques en Grèce
Volet C: Développement professionnel et outils de référence
17. Les Enseignants d'allemand et le plurilinguisme
18. frühkindliche weltweite der deutschen Sprache Vermittlung
19. Renforcement de l'efficacité de l'enseignement EMILE par l'écriture
Volet D: approches innovantes et nouvelles technologies
20. Flachi - Langues étrangères pour les enfants
21. ... À distance: enseignement des langues dans un environnement virtuel
22. L'enseignement des langues en ligne dans le projet européen "résoudre des problèmes"
23. Deux sites Innovants pour L'Apprentissage des Langues
Section 5: Résultats du programme 2004-2007 du point de vue des associations de la langue et des institutions européennes
24. L'enseignement des langues dans une Europe multilingue et multiculturelle: les réalisations et les défis du point de vue de CercleS
25. L'enseignement des langues dans une Europe multilingue et multiculturelle: une perspective FIPLV
26. L'enseignement des langues dans une Europe multilingue et multiculturelle: résultats et défis du point de vue de la FIPF
27. Vers les approches plurilingues dans l'apprentissage et l'enseignement des langues: une impression du CELV programme à moyen deuxième mandat
28. L'enseignement des langues dans une Europe multilingue et multiculturelle: les questions Irlande
Section 6: Extrait du programme 2008-2011: les professionnels en langues
29. contributions attendues des projets du CELV dans le domaine de l'évaluation
30. contributions attendues des projets du CELV dans le domaine de la continuité dans l'apprentissage des langues
31. contributions attendues des projets du CELV dans le domaine des contenus et l'enseignement des langues
32. Contribution prévue des projets du CELV dans le domaine de l'éducation plurilingue
33. Contribution prévue des projets du CELV nouvelle à la mise en œuvre des politiques linguistiques éducatives en Europe
Section 7: Biographies des contributeurs
Section 8: Les projets du deuxième programme à moyen terme du CELV et de leurs sites Web
Deuxième programme à moyen terme, 2004-2007
Langues pour la cohésion sociale: l'enseignement des langues dans une Europe multilingue et multiculturelle
Section 9: Les projets de la troisième programme à moyen terme, 2008-2011, et de leurs sites Web
Valoriser les professionnels en langues: compétences - réseaux - impact - qualité
Nouvelle parution : « Guide du jeune enseignant », par Fabrice Hervieu-Wane
Le compagnon de route indispensable des futurs profs et des jeunes enseignants !
Comment aborder le groupe-classe, comment préparer ses cours, faire face à l’échec scolaire, connaître les élèves et leurs parents, le système éducatif français, savoir où trouver les bonnes infos, que faire si on craque ?…
Sur la base d’expériences et de témoignages, ce guide délivre les conseils, les méthodes, les bonnes pratiques indispensables pour faire face à la situation d’enseignement ainsi que des repères et des informations pour aborder ce métier dans les meilleures conditions possibles : dans la classe, dans l’établissement, dans la société, mais aussi dans son for intérieur…
Il est destiné aux jeunes professeurs d’école, de collège, de lycée, du public comme du privé, qui souhaitent obtenir des réponses concrètes et accessibles aux questions qu’ils se posent au quotidien.
Sommaire :
Chapitre I : L’autorité par le professionnalisme
1- Les fondements de l’autorité
2- De l’importance du règlement intérieur de l’établissement
3- L’autorité « naturelle » est-elle un mythe ?
4- Le véritable impact de « l’effet maître »
5- La mise en pratique des règles de vie scolaire
6- La ritualisation du travail scolaire
7- Maîtriser l’espace-temps de la classe
8- Faire face à la violence
Chapitre II : Connaître ses élève et leurs familles
1- Qui sont les élèves ?
2- Les représentations mentales des élèves
3- Comment entrer en relation avec les élèves ?
4- La bonne distance avec les élèves
5- Motiver ses élèves
6- Parents, un métier difficile
7- Les parents : des alliés indispensables
8- Comment les familles populaires vivent l’école
9- Enseigner en classe multiculturelle
Chapitre III : Préparer ses cours
1- Lire, comprendre et appliquer les programmes
2- Construire les séances de cours
3- Les outils classiques du cours
4- Les nouvelles technologies, une évolution inéluctable
5- Demain, un prof numérique ?
6- L’apport des Tice pour préparer ses cours et en classe
7- Du bon usage de l’Internet
Chapitre IV : Faire la classe, transmettre, apprendre à apprendre
1- Maîtriser l’improvisation
2- Donner des cadres tout au long de l’année
3- Devenir un observateur attentif
4- Être acteur sans jouer la comédie
5- Cours magistral, cours dialogué, travail de groupe et individuel
6- Apprendre aux élèves a apprendre
7- Simplifier le processus cognitif des élèves
8- Faire tomber ses craintes face à l’hétérogénéité
9- Mettre en place des situations différenciées
Chapitre V : Evaluer, orienter
1- Petite histoire des notes
2- De la relativité des notes
3- Les autres outils d’évaluation
4- Diversifier ses pratiques, faire adopter l’autocorrection
5- Les alternatives à l’évaluation traditionnelle
6- Utiliser la gestion électronique de l’évaluation
7- Distinguer l’élève de la personne
8- Juger, orienter, une lourde responsabilité
Chapitre VI :Comprendre l’échec scolaire
1- L’échec scolaire n’est pas une maladie
2- L’échec scolaire n’est pas une fatalité
3- L’erreur n’est pas une faute
4- Comment valoriser les élèves en difficultés
5- Faire face à l’absentéisme
6- Les dispositifs d’accompagnement pour les élèves en difficulté légère
7- Les dispositifs de raccrochage pour les élèves en grande difficulté
8- Distinguer les élèves qui ont des besoins particuliers
9- Education prioritaire, un bilan des zep
Chapitre VII : Innover
1- Les préalables à l’expérimentation pédagogique
2- Comment mettre en place une innovation
3- Exercer dans un établissement alternatif
4- Quand la classe devient une ruche : au cœur du cours
5- Quand la classe devient une ruche : au sein de l’établissement
6- Méthodes et pratiques pédagogiques : repères historiques
7- Enrichir sa pédagogie grâce au handicap
8- Au-delà du débat entre « pédagogues » et « républicains »
9- Les grands « laboratoires » de l’innovation
Chapitre VIII : Accomplir sa mission de service public
1- Droits et obligations légales
2- Responsabilités civiles
3- Responsabilités pénales
4- Un enseignant, qu’est-ce que c’est ?
5- Une profession au microscope
6- Du roi libre en classe… aux limites du pouvoir
7- Qu’est-ce qu’un bon prof ?
8- L’éthique professionnelle, priorité des priorités
Chapitre IX : Le plaisir d’enseigner
1- Rayonner
2- S’épanouir
3- Aimer son métier
4- Devenir un nouveau hussard de la république
5- Aider ses élèves à décrypter la complexité du monde
6- Travailler en équipe
7- Connaître la valeur et l’histoire de son métier
8- L’enseignant vu par des écrivains
Guide du jeune enseignant
Auteur : Fabrice Hervieu-Wane
Conseiller éditorial : Vincent Troger
Éditeur : Éditions Sciences-Humaines
octobre 2009 - 288 pages
ISBN : 9782912601926
Prix 17 euros
jeudi 8 avril 2010
Le livre pour lutter...
C'est une "priorité" sans cesse réaffirmée par les ministres de l'Education.
Mais avec 21% des jeunes de 17 ans qui montrent des difficultés à lire, l'illettrisme reste un problème persistant en France. Au point que Luc Chatel a profité lors de son passage au Salon du livre de Paris, il y a quelques jours, pour annoncer des initiatives. Appelant à stimuler dès le plus jeune âge la mémoire des enfants, le ministre entend mettre l'accent sur "l'apprentissage méthodique du vocabulaire et l'usage du "par coeur" en maternelle! Il a également envisagé que "chaque élève de CM2, et pourquoi pas de CE1", reçoive en fin d'année un livre pour l'été "issu du patrimoine littéraire français"! Chaque académie nommera son expert chargé de suivre le dossier. Mais l'illettrisme à l'école n'est qu'une partie du problème, car plus de la moitié des 3,1 millions d'illettrés ont aujourd'hui plus de 45 ans!
Mais avec 21% des jeunes de 17 ans qui montrent des difficultés à lire, l'illettrisme reste un problème persistant en France. Au point que Luc Chatel a profité lors de son passage au Salon du livre de Paris, il y a quelques jours, pour annoncer des initiatives. Appelant à stimuler dès le plus jeune âge la mémoire des enfants, le ministre entend mettre l'accent sur "l'apprentissage méthodique du vocabulaire et l'usage du "par coeur" en maternelle! Il a également envisagé que "chaque élève de CM2, et pourquoi pas de CE1", reçoive en fin d'année un livre pour l'été "issu du patrimoine littéraire français"! Chaque académie nommera son expert chargé de suivre le dossier. Mais l'illettrisme à l'école n'est qu'une partie du problème, car plus de la moitié des 3,1 millions d'illettrés ont aujourd'hui plus de 45 ans!
lundi 5 avril 2010
jeu pour mémoriser le vocabulaire des magasins
Fiche pédagogique
Niveau : A1 - A2
Thème : Travail sur le vocabulaire des magasins
Matériel : un dé et le plateau
Faites des groupes avec un nombre égal d'étudiants. Distribuez un dé et le plateau pour chaque groupe et expliquez la règle du jeu. Indiquez que nous ne pouvons donner que des noms d'objets avec les articles pour indiquer le genre.
REGLES DU JEU
1. Lancez le dé et donnez le nom de deux objets qui se trouvent dans le magasin correspondant au nombre que vous avez obtenu. Vous ne pouvez pas réutilisé un mot déjà donné dans le même magasin ou dans un autre.
2. Si vous obtenez un six, vous pouvez désigner le groupe et la pièce pour laquelle ils doivent nommer les objets.
3. Un joueur dans chaque groupe à la responsabilité d'une pièce pour laquelle il doit noter tous les objets cités.
4. Vous passez un tour si vous n'arrivez pas à nommer un objet ou si vous nommez un objet déjà cité.
5. Vous pouvez arrêter le jeu, quand un groupe passe 3 tours.
VARIANTE
Vous pouvez présenter une liste de mots à mémoriser avant de commencer le jeu ou de travailler sur le vocabulaire durant une séquence qui précède le jeu.
samedi 3 avril 2010
Exploiter un microblogue
Imaginons si vous le voulez bien
Imaginons qu’un groupe d’élève veulent trouver un moyen de :
partager de l’information sur un projet ;
garder des traces des actions posées dans une situation d’apprentissage ;
communiquer entre les membres d’une équipe de travail ;
classer l’information autour d’un sujet ;
etc.
Imaginons qu’un enseignant désire :
que ses élèves écrivent/lisent davantage ;
que ses élèves apprennent à exploiter les TIC dans leur apprentissage ;
et par la même occasion leur faire développer un respect des règles du Web ;
avoir un moyen de suivre une partie du processus (métacognition) de ses élèves lors de ses situations d’apprentissage ;
communiquer avec ses élèves afin d’apprendre « avec » eux ;
etc.
Microblogue
Un microblogue est un outil Web 2.0 qui permet à une communauté de partager de l’information de façon très simple.
Un microblogue peut être l’outil qui offre les possibilités « rêvées » ci-haut. Car avec un microblogue on peut :
écrire 140 caractères d’information dans un statut ;
suivre les statuts des personnes qui nous intéressent ;
ajouter des mots-clés dans un statut afin de pouvoir retrouver cette information plus facilement (classement) ;
cette fonction sera très utile pour métaticer.
envoyer un message direct à un autre membre du microblogue ;
se créer des groupes (thèmes) afin d’organiser encore un peu plus l’information.
MétaTICer
Le microblogue peut donc devenir un outil métacognitif grâce à ces fonctions de traces mais aussi grâce à l’interaction enseignant-élève et élève-élève. Cette interaction permet, entre autres (1), de questionner l’élève sur ces difficultés/solutions.
(1)il s'agit ici de toutes les questions méta pouvant amener l’apprenant à se regarder apprendre et à agir son processus.
Imaginons qu’un groupe d’élève veulent trouver un moyen de :
partager de l’information sur un projet ;
garder des traces des actions posées dans une situation d’apprentissage ;
communiquer entre les membres d’une équipe de travail ;
classer l’information autour d’un sujet ;
etc.
Imaginons qu’un enseignant désire :
que ses élèves écrivent/lisent davantage ;
que ses élèves apprennent à exploiter les TIC dans leur apprentissage ;
et par la même occasion leur faire développer un respect des règles du Web ;
avoir un moyen de suivre une partie du processus (métacognition) de ses élèves lors de ses situations d’apprentissage ;
communiquer avec ses élèves afin d’apprendre « avec » eux ;
etc.
Microblogue
Un microblogue est un outil Web 2.0 qui permet à une communauté de partager de l’information de façon très simple.
Un microblogue peut être l’outil qui offre les possibilités « rêvées » ci-haut. Car avec un microblogue on peut :
écrire 140 caractères d’information dans un statut ;
suivre les statuts des personnes qui nous intéressent ;
ajouter des mots-clés dans un statut afin de pouvoir retrouver cette information plus facilement (classement) ;
cette fonction sera très utile pour métaticer.
envoyer un message direct à un autre membre du microblogue ;
se créer des groupes (thèmes) afin d’organiser encore un peu plus l’information.
MétaTICer
Le microblogue peut donc devenir un outil métacognitif grâce à ces fonctions de traces mais aussi grâce à l’interaction enseignant-élève et élève-élève. Cette interaction permet, entre autres (1), de questionner l’élève sur ces difficultés/solutions.
(1)il s'agit ici de toutes les questions méta pouvant amener l’apprenant à se regarder apprendre et à agir son processus.
vendredi 2 avril 2010
jeudi 1 avril 2010
mercredi 31 mars 2010
Le projet de recherche documentaire
Un projet de recherche documentaire avec des élèves se situe nécessairement à deux niveaux. Il s’agit bien sûr de trouver des informations, des réponses à des questions que l’on se pose mais également de s’inscrire dans une méthodologie
de recherche. L’enjeu est d’apprendre à chercher et non pas simplement de trouver de la documentation, il est de taille surtout face aux possibilités des TIC qui donnent souvent l’illusion d’avoir un accès immédiat à l’ensemble des connaissances.
Le cadre d’une recherche documentaire se situe au-delà de la recherche d’une réponse à une ou quelques questions précises : on travaille en général à l'échelle d'une thématique portée par un ensemble de questions organisées ou hiérarchisées dans le but d'acquérir ou de participer à l'acquisition de connaissances nouvelles.
Exemple de démarche pour un projet de recherche documentaire (6 étapes):
1 : Choix du thème - Mise en place d’un questionnement
2 : Organisation de la recherche
3 : Recherche et localisation des informations
4 : Prélèvement des informations
5 : Traitement de l’information
6 : Restitution – communication
Étape 1 : Choix du thème - Mise en place d’un questionnement
Ce choix peut être fait par le maître, être suscité par l’actualité, faire suite à une proposition
venant des élèves, être une manière de traiter un point du programme en histoire, géographie,sciences …
Ce choix de départ pourra être redéfini (simplement précisé voire modifié), au cours de cette étape.
Pour que cette proposition se transforme en projet de recherche il est indispensable d’investir le sujet ou le thème de recherche et de mettre en place un questionnement. C’est une phase de mobilisation des idées et d’émergence des représentations, où l'on fait le point sur ce que l'on sait déjà, ce que l’on croit savoir et ce que l'on souhaite apprendre. Ce questionnement est très important et ne doit pas être négligé; il permet d’engager les élèves dans une vraie recherche dont ils seront les acteurs.
A partir de ce questionnement la classe va construire un questionnaire (un ensemble de questions les plus précises possible dont les réponses peuvent être trouvées dans les ressources documentaires). Il faudra faire des choix, écarter certaines questions trop complexes (les pourquoi ?). Sans vouloir jouer sur les mots il est fondamental de ne pas confondre questionnement et questionnaire : le second est au service du premier. Réduire une recherche documentaire à un questionnaire ce serait chercher des réponses à des questions que l’on ne se pose pas réellement.
Étape 2 : Organisation de la recherche
Étape où s'établit le contrat de travail (Qui fera quoi ? Avec qui ? Comment ?). On fixe les modalités de travail mais aussi la forme de la restitution finale. Si l'on cherche c'est dans un but précis : pour apprendre, pour communiquer aux autres, à la classe, à d'autres classes, …).
En fonction de cette finalité, la présentation des résultats de la recherche prendra des formes différentes (exposé, exposition, petit dossier documentaire, document à publier dans le journal ou le site web de l'école, création d'un cédérom). La forme de restitution doit être connue des élèves pour deux raisons au moins : elle rend le contrat concret et elle a une incidence sur la façon de prélever les informations.
Au cours de cette étape il est important de mettre en place un système de "feuille de route" qui va servir de guide à chaque groupe de recherche et où figureront la liste précise des questions et les différentes ressources qui auront été trouvées au fur et à mesure de l'avancée de la recherche. Cette feuille permet de savoir à tout moment et concrètement ce que l’on cherche.
Étape 3 : Recherche et localisation des informations
Dans cette phase, l'élève est amené :
- à choisir la ressource pertinente dans laquelle il pense trouver les informations (dictionnaire, encyclopédie, documentaire papier, revue, cédérom, site web)
- à mettre en oeuvre les différents outils de recherche disponibles (catalogues, fichiers auteurs ou matières, utilisation de la "marguerite", d'un logiciel de gestion documentaire, liste ou répertoire de sites, annuaire, moteur de recherche).
C'est une phase de repérage dont le but est de savoir où se trouvent les différents documents qui seront exploités. Ce repérage se fait par la "cote" pour les documents imprimés. Pour les documents du web l'utilisation des favoris, qu'il faudra de préférence renommer, permet ce repérage. La feuille de route peut également permettre de préciser – dans le cas par exemple d'une page web assez longue - à quel endroit précis de la page se trouve le passage intéressant ou encore quelle manipulation il faut réaliser pour arriver au document (sur quelle rubrique cliquer ?).
Cette phase sollicite simultanément des compétences de lecture particulières (lecture
exploratoire, sélective) et une aptitude à utiliser les outils de recherche. Cette dernière comprend une composante technique (manipulatoire) liée à la présentation et à l'ergonomie des outils de recherche et une composante conceptuelle liée en particulier aux notions de mot clé, de catégorie, de thème. On peut difficilement imaginer que tous les apprentissages permettant d'avoir ces compétences s'effectuent exclusivement à ce moment-là. Les élèves doivent avoir été initiés au cours de situations plus spécifiques en particulier pour l'utilisation des outils de recherche (le rallye proposé s’inscrit dans cette logique). Apprendre à utiliser un
dictionnaire électronique, une encyclopédie en ligne ou sur cédérom, retrouver des documents (sites web ou autres) rangés dans une arborescence thématique, choisir des mots-clés... sont des compétences qui gagnent à être travaillées spécifiquement.
Étape 4 : Prélèvement des informationsLors de cette phase on va extraire les informations utiles des documents repérés. La copie manuelle, la prise de note, la photocopie, sont les moyens classiques adaptés aux supports imprimés. La sélection et l'impression ou le copier/coller dans un traitement de texte seront
les moyens associés à l'outil informatique. Cette technique fait partie des compétences du B2i, elle est toujours possible avec les pages d'un site web (en tout cas pour le texte, les images étant parfois protégées pour prévenir des utilisations illicites). Les élèves de cycle 3 peuvent la maîtriser assez rapidement . Les cédéroms présentent souvent des limitations dans ce domaine et il faut alors en revenir soit à des copies d'écran (pour les images) soit à la prise de note manuelle.
La principale difficulté de cette phase n'est pas technique. Elle réside dans la nécessité pour les élèves de sélectionner des passages contenant des informations pertinentes par rapport à leurs questions.
Les étapes 3 et 4 peuvent se confondre particulièrement dans les cas de prélèvements d'informations simples. Il me semble cependant important, de façon générale, de bien les séparer en les situant, de manière dominante, dans deux séances distinctes.
Étape 5 : Traitement de l’information
A partir des documents extraits précédemment, il faut procéder à des choix dans les passages de texte, trouver le pertinent, choisir, hiérarchiser, transcrire puis écrire les textes (ou composer les documents en fonction du projet de départ). Cette étape ne nécessite plus l'outil informatique; celui-ci constituerait même un sérieux handicap si on envisageait par exemple de faire comparer le contenu de deux blocs de texte à l'écran.
Étape 6 : Restitution – communication
Aboutissement du projet de recherche. Les TICE offrent dans ce domaine des possibilités nouvelles. En particulier, le fait d'avoir consulté des documents hypertextuels peut être une motivation pour choisir ce mode d'écriture pour pouvoir communiquer autrement mais également une façon de mieux comprendre comment sont réalisés de tels documents. La création d'un site web ou d'un cédérom documentaire sont désormais à la portée de ceux qui souhaitent s'y engager : des solutions techniques simples existent, la difficulté restant entière en matière de conduite du projet.
Cette démarche peut sembler complexe. En fait c’est l’activité de recherche qui est en elle-même complexe, non linéaire et parfois imprévisible. Les étapes décrites ci-dessus apparaîtront nécessairement, sous des formes qui peuvent varier. Autant les prévoir et les programmer dans la mesure du possible ce qui permettra de mieux encadrer et maîtriser l’activité.
Enfin, et l’on aurait pu commencer par cela, une recherche documentaire est une activité qui met en jeu de nombreuses compétences de lecture / écriture. Occasion privilégiée pour les exercer, les renforcer, les réinvestir et dans certains cas les aborder.
de recherche. L’enjeu est d’apprendre à chercher et non pas simplement de trouver de la documentation, il est de taille surtout face aux possibilités des TIC qui donnent souvent l’illusion d’avoir un accès immédiat à l’ensemble des connaissances.
Le cadre d’une recherche documentaire se situe au-delà de la recherche d’une réponse à une ou quelques questions précises : on travaille en général à l'échelle d'une thématique portée par un ensemble de questions organisées ou hiérarchisées dans le but d'acquérir ou de participer à l'acquisition de connaissances nouvelles.
Exemple de démarche pour un projet de recherche documentaire (6 étapes):
1 : Choix du thème - Mise en place d’un questionnement
2 : Organisation de la recherche
3 : Recherche et localisation des informations
4 : Prélèvement des informations
5 : Traitement de l’information
6 : Restitution – communication
Étape 1 : Choix du thème - Mise en place d’un questionnement
Ce choix peut être fait par le maître, être suscité par l’actualité, faire suite à une proposition
venant des élèves, être une manière de traiter un point du programme en histoire, géographie,sciences …
Ce choix de départ pourra être redéfini (simplement précisé voire modifié), au cours de cette étape.
Pour que cette proposition se transforme en projet de recherche il est indispensable d’investir le sujet ou le thème de recherche et de mettre en place un questionnement. C’est une phase de mobilisation des idées et d’émergence des représentations, où l'on fait le point sur ce que l'on sait déjà, ce que l’on croit savoir et ce que l'on souhaite apprendre. Ce questionnement est très important et ne doit pas être négligé; il permet d’engager les élèves dans une vraie recherche dont ils seront les acteurs.
A partir de ce questionnement la classe va construire un questionnaire (un ensemble de questions les plus précises possible dont les réponses peuvent être trouvées dans les ressources documentaires). Il faudra faire des choix, écarter certaines questions trop complexes (les pourquoi ?). Sans vouloir jouer sur les mots il est fondamental de ne pas confondre questionnement et questionnaire : le second est au service du premier. Réduire une recherche documentaire à un questionnaire ce serait chercher des réponses à des questions que l’on ne se pose pas réellement.
Étape 2 : Organisation de la recherche
Étape où s'établit le contrat de travail (Qui fera quoi ? Avec qui ? Comment ?). On fixe les modalités de travail mais aussi la forme de la restitution finale. Si l'on cherche c'est dans un but précis : pour apprendre, pour communiquer aux autres, à la classe, à d'autres classes, …).
En fonction de cette finalité, la présentation des résultats de la recherche prendra des formes différentes (exposé, exposition, petit dossier documentaire, document à publier dans le journal ou le site web de l'école, création d'un cédérom). La forme de restitution doit être connue des élèves pour deux raisons au moins : elle rend le contrat concret et elle a une incidence sur la façon de prélever les informations.
Au cours de cette étape il est important de mettre en place un système de "feuille de route" qui va servir de guide à chaque groupe de recherche et où figureront la liste précise des questions et les différentes ressources qui auront été trouvées au fur et à mesure de l'avancée de la recherche. Cette feuille permet de savoir à tout moment et concrètement ce que l’on cherche.
Étape 3 : Recherche et localisation des informations
Dans cette phase, l'élève est amené :
- à choisir la ressource pertinente dans laquelle il pense trouver les informations (dictionnaire, encyclopédie, documentaire papier, revue, cédérom, site web)
- à mettre en oeuvre les différents outils de recherche disponibles (catalogues, fichiers auteurs ou matières, utilisation de la "marguerite", d'un logiciel de gestion documentaire, liste ou répertoire de sites, annuaire, moteur de recherche).
C'est une phase de repérage dont le but est de savoir où se trouvent les différents documents qui seront exploités. Ce repérage se fait par la "cote" pour les documents imprimés. Pour les documents du web l'utilisation des favoris, qu'il faudra de préférence renommer, permet ce repérage. La feuille de route peut également permettre de préciser – dans le cas par exemple d'une page web assez longue - à quel endroit précis de la page se trouve le passage intéressant ou encore quelle manipulation il faut réaliser pour arriver au document (sur quelle rubrique cliquer ?).
Cette phase sollicite simultanément des compétences de lecture particulières (lecture
exploratoire, sélective) et une aptitude à utiliser les outils de recherche. Cette dernière comprend une composante technique (manipulatoire) liée à la présentation et à l'ergonomie des outils de recherche et une composante conceptuelle liée en particulier aux notions de mot clé, de catégorie, de thème. On peut difficilement imaginer que tous les apprentissages permettant d'avoir ces compétences s'effectuent exclusivement à ce moment-là. Les élèves doivent avoir été initiés au cours de situations plus spécifiques en particulier pour l'utilisation des outils de recherche (le rallye proposé s’inscrit dans cette logique). Apprendre à utiliser un
dictionnaire électronique, une encyclopédie en ligne ou sur cédérom, retrouver des documents (sites web ou autres) rangés dans une arborescence thématique, choisir des mots-clés... sont des compétences qui gagnent à être travaillées spécifiquement.
Étape 4 : Prélèvement des informationsLors de cette phase on va extraire les informations utiles des documents repérés. La copie manuelle, la prise de note, la photocopie, sont les moyens classiques adaptés aux supports imprimés. La sélection et l'impression ou le copier/coller dans un traitement de texte seront
les moyens associés à l'outil informatique. Cette technique fait partie des compétences du B2i, elle est toujours possible avec les pages d'un site web (en tout cas pour le texte, les images étant parfois protégées pour prévenir des utilisations illicites). Les élèves de cycle 3 peuvent la maîtriser assez rapidement . Les cédéroms présentent souvent des limitations dans ce domaine et il faut alors en revenir soit à des copies d'écran (pour les images) soit à la prise de note manuelle.
La principale difficulté de cette phase n'est pas technique. Elle réside dans la nécessité pour les élèves de sélectionner des passages contenant des informations pertinentes par rapport à leurs questions.
Les étapes 3 et 4 peuvent se confondre particulièrement dans les cas de prélèvements d'informations simples. Il me semble cependant important, de façon générale, de bien les séparer en les situant, de manière dominante, dans deux séances distinctes.
Étape 5 : Traitement de l’information
A partir des documents extraits précédemment, il faut procéder à des choix dans les passages de texte, trouver le pertinent, choisir, hiérarchiser, transcrire puis écrire les textes (ou composer les documents en fonction du projet de départ). Cette étape ne nécessite plus l'outil informatique; celui-ci constituerait même un sérieux handicap si on envisageait par exemple de faire comparer le contenu de deux blocs de texte à l'écran.
Étape 6 : Restitution – communication
Aboutissement du projet de recherche. Les TICE offrent dans ce domaine des possibilités nouvelles. En particulier, le fait d'avoir consulté des documents hypertextuels peut être une motivation pour choisir ce mode d'écriture pour pouvoir communiquer autrement mais également une façon de mieux comprendre comment sont réalisés de tels documents. La création d'un site web ou d'un cédérom documentaire sont désormais à la portée de ceux qui souhaitent s'y engager : des solutions techniques simples existent, la difficulté restant entière en matière de conduite du projet.
Cette démarche peut sembler complexe. En fait c’est l’activité de recherche qui est en elle-même complexe, non linéaire et parfois imprévisible. Les étapes décrites ci-dessus apparaîtront nécessairement, sous des formes qui peuvent varier. Autant les prévoir et les programmer dans la mesure du possible ce qui permettra de mieux encadrer et maîtriser l’activité.
Enfin, et l’on aurait pu commencer par cela, une recherche documentaire est une activité qui met en jeu de nombreuses compétences de lecture / écriture. Occasion privilégiée pour les exercer, les renforcer, les réinvestir et dans certains cas les aborder.
Vous avez dit "Bolidage" ?
"Cette vidéo sur le bolidage fait un vrai ramdam."
C'est ce qu'on devra dire désormais au lieu de: "cette vidéo sur le tuning un vrai buzz". De même, ne parlons plus de "chat" mais d'"éblabla", de "newsletter" mais d'"infolette", ni de "talk", remplacé par "débat". Le concours Francomot a francisé cinq anglicismes du vocabulaire courant. Ces néologismes sont l'oeuvre d'étudiants sollicités au début de l'année par le secrétariat d'Etat à la francophonie. Le jury, qui comptait le chanteur MCsolaar ou l'animateur Daniela Lumbroso autour de Jean-Christophe Ruffin, ambassadeur de France à Dakar, a retenu ces termes parmi un millier de propositions. "Toilogue" (pour "chat"), "périodiciel" ou "échoweb" (pour "newsletter") n'ont pas été retenus.
C'est ce qu'on devra dire désormais au lieu de: "cette vidéo sur le tuning un vrai buzz". De même, ne parlons plus de "chat" mais d'"éblabla", de "newsletter" mais d'"infolette", ni de "talk", remplacé par "débat". Le concours Francomot a francisé cinq anglicismes du vocabulaire courant. Ces néologismes sont l'oeuvre d'étudiants sollicités au début de l'année par le secrétariat d'Etat à la francophonie. Le jury, qui comptait le chanteur MCsolaar ou l'animateur Daniela Lumbroso autour de Jean-Christophe Ruffin, ambassadeur de France à Dakar, a retenu ces termes parmi un millier de propositions. "Toilogue" (pour "chat"), "périodiciel" ou "échoweb" (pour "newsletter") n'ont pas été retenus.
lundi 29 mars 2010
TEMOIGNAGE: De la recherche guidée vers le webquest
le 21/03/2010
Un dossier réalisé par le GEP Langues le vendredi 5 janvier 2007, par Anne Pellet, Katrin Goldmann.
Afin d’éviter que les élèves ne se noient dans le web, il est clair que leurs recherches ou activités doivent être encadrées. Cela peut se faire de façon plus ou moins complexe, de la recherche guidée au WebQuest.
La recherche guidée est tout simplement un questionnaire ou encore un « quiz » que l’élève peut résoudre en faisant des recherches sur Internet, sur un ou plusieurs sites.
Le WebQuest est une forme beaucoup plus élaborée : une « cyber-mission », une sorte de jeu de rôle ou encore de simulation, où l’élève se voit confier une « tâche réelle » (ou supposée telle) à accomplir et qui aboutit à une production concrète de sa part.
Pourquoi ce dossier ? Le GEP-Langues a travaillé toute une année scolaire sur les WebQuests avec le but de créer ses propres démarches, de les expérimenter en classe, puis de les mettre à la disposition des collègues. Or, lors de ce travail, nous avons pu constater la difficulté de ce projet alors que nous sommes tous des utilisateurs avertis des TICE. Bien qu’il soit un concept assez plébiscité actuellement, le WebQuest, de par sa complexité à la fois pédagogique et technique, ne nous paraît pas utilisable par un collègue qui débute en classe avec les nouvelles technologies. Il risquerait même, si l’expérience ne s’avère pas satisfaisante – ce qui est fort possible - d’être freiné dans son élan à vouloir intégrer les TICE en cours.
Comme dans tout apprentissage, il est important de respecter une progression et de ne pas se lancer des « challenges » que l’on est incapable d’affronter. Il en est de même pour le collègue qui veut utiliser Internet et le multimédia en classe. Il faut d’abord commencer par faire des choses simples qui ne demandent ni trop de temps de préparation, ni trop de compétences techniques, ni trop de séances avec les élèves avant de se lancer dans un projet plus chronophage et plus complexe.Il nous paraît donc qu’il est indispensable d’avoir pratiqué la recherche guidée avec les élèves et d’avoir créé ses propres questionnaires, avant de se lancer dans l’utilisation puis de la création d’un WebQuest. La recherche guidée est un moyen simple mais efficace de faire une (première) utilisation d’Internet en une seule séance.
Nous ajoutons après quelques semaines de réflexion une nouvelle entrée à ce dossier : les mini-missions. Moins ambitieux qu’un WebQuest - à la fois en ce qui concerne la durée et la complexité - mais néanmoins une simulation d’une situation réelle avec une véritable tâche à accomplir, les mini-missions permettent un travail sur une seule séance.
Vous trouverez dans ce dossier :
- des exemples variés de questionnaires guidés dont certains avec des comptes rendus d’expérience
- différentes définitions du concept du WebQuest avec une sitographie
- des exemples de WebQuests créés par les collègues ainsi que des liens sur des Webquests disponibles sur le net.
Ont contribué à l’élaboration du dossier : Evelyne Boin, Aurélie Chateau, Katrin Goldmann, Anne Pellet, Nicole Thiery.
Avec la participation de : Jeannine Bardy (CRL), Delphine Bour.
Coordination du dossier : Katrin Goldmann.
Sous la responsabilité de : Florence Laygues IA-IPR.
Pour lire la suite je vous invite à visiter le site :
http://www.langues.ac-versailles.fr/spip.php?article5
le 21/03/2010
Un dossier réalisé par le GEP Langues le vendredi 5 janvier 2007, par Anne Pellet, Katrin Goldmann.
Afin d’éviter que les élèves ne se noient dans le web, il est clair que leurs recherches ou activités doivent être encadrées. Cela peut se faire de façon plus ou moins complexe, de la recherche guidée au WebQuest.
La recherche guidée est tout simplement un questionnaire ou encore un « quiz » que l’élève peut résoudre en faisant des recherches sur Internet, sur un ou plusieurs sites.
Le WebQuest est une forme beaucoup plus élaborée : une « cyber-mission », une sorte de jeu de rôle ou encore de simulation, où l’élève se voit confier une « tâche réelle » (ou supposée telle) à accomplir et qui aboutit à une production concrète de sa part.
Pourquoi ce dossier ? Le GEP-Langues a travaillé toute une année scolaire sur les WebQuests avec le but de créer ses propres démarches, de les expérimenter en classe, puis de les mettre à la disposition des collègues. Or, lors de ce travail, nous avons pu constater la difficulté de ce projet alors que nous sommes tous des utilisateurs avertis des TICE. Bien qu’il soit un concept assez plébiscité actuellement, le WebQuest, de par sa complexité à la fois pédagogique et technique, ne nous paraît pas utilisable par un collègue qui débute en classe avec les nouvelles technologies. Il risquerait même, si l’expérience ne s’avère pas satisfaisante – ce qui est fort possible - d’être freiné dans son élan à vouloir intégrer les TICE en cours.
Comme dans tout apprentissage, il est important de respecter une progression et de ne pas se lancer des « challenges » que l’on est incapable d’affronter. Il en est de même pour le collègue qui veut utiliser Internet et le multimédia en classe. Il faut d’abord commencer par faire des choses simples qui ne demandent ni trop de temps de préparation, ni trop de compétences techniques, ni trop de séances avec les élèves avant de se lancer dans un projet plus chronophage et plus complexe.Il nous paraît donc qu’il est indispensable d’avoir pratiqué la recherche guidée avec les élèves et d’avoir créé ses propres questionnaires, avant de se lancer dans l’utilisation puis de la création d’un WebQuest. La recherche guidée est un moyen simple mais efficace de faire une (première) utilisation d’Internet en une seule séance.
Nous ajoutons après quelques semaines de réflexion une nouvelle entrée à ce dossier : les mini-missions. Moins ambitieux qu’un WebQuest - à la fois en ce qui concerne la durée et la complexité - mais néanmoins une simulation d’une situation réelle avec une véritable tâche à accomplir, les mini-missions permettent un travail sur une seule séance.
Vous trouverez dans ce dossier :
- des exemples variés de questionnaires guidés dont certains avec des comptes rendus d’expérience
- différentes définitions du concept du WebQuest avec une sitographie
- des exemples de WebQuests créés par les collègues ainsi que des liens sur des Webquests disponibles sur le net.
Ont contribué à l’élaboration du dossier : Evelyne Boin, Aurélie Chateau, Katrin Goldmann, Anne Pellet, Nicole Thiery.
Avec la participation de : Jeannine Bardy (CRL), Delphine Bour.
Coordination du dossier : Katrin Goldmann.
Sous la responsabilité de : Florence Laygues IA-IPR.
Pour lire la suite je vous invite à visiter le site :
http://www.langues.ac-versailles.fr/spip.php?article5
!! Appel à participation !!Venez vivre un moment artistique singulier
La compagnie Anitya vous invite à participer à un spectacle / performance de soundpainting le 7 avril 2010 à midi dans le centre ville de Marseille.
Il s’agit d’une pièce qui interroge notre hymne national en faisant redécouvrir sa musique et résonner son texte dans la ville où, le 22 juin 1792, il acquit sa célébrité...
Le Soundpainting est un langage gestuel grâce auquel un chef d'orchestre dialogue avec des interprètes et élabore une composition musicale et visuelle en temps réel.
Vous aimez chanter, danser, bouger… venez participer à une composition collective semi-improvisée.
Pour préparer la performance, les participants sont invités à assister à un atelier d’initiation au Soundpainting animé par Christophe Cagnolari de la compagnie Anitya.
La participation (gratuite) est ouverte à tous les adultes et adolescents ; aucune compétence préalable n'est requise.
Informations pratiques :
Répétition / initiation : au choix mardi 30 ou mercredi 31 mars 2010 de 19h30 à 21h30
Salon de musique de la Friche Belle de Mai (1er étage dans la tour en entrant dans la friche à gauche, côté 41 rue Jobin, 13003 Marseille)
Performance : mercredi 7 avril à 12h à Marseille / durée 15 minutes / rendez-vous à 11h pour une répétition générale (le lieu de rendez-vous sera communiqué pendant l’atelier)
Inscriptions :
Lieux publics – Centre national de création
communication@lieuxpublics.com
04 91 03 81 28 (pôle communication)
Préparation:
Il est demandé aux participants de choisir et d'apprendre une strophe ou quelques lignes de La Marseillaise (outre la première strophe et le refrain que nous connaissons tous pour les avoir chantés au stage, aux tournois internationaux de pétanque et lors des cours de chant à l'école...)
Retrouvez les paroles en cliquant sur ce lien:
http://www.anitya.fr/marseillaise/participation.html
Plus d’informations sur le Soundpainting:
www.soundpainting.com
La compagnie Anitya vous invite à participer à un spectacle / performance de soundpainting le 7 avril 2010 à midi dans le centre ville de Marseille.
Il s’agit d’une pièce qui interroge notre hymne national en faisant redécouvrir sa musique et résonner son texte dans la ville où, le 22 juin 1792, il acquit sa célébrité...
Le Soundpainting est un langage gestuel grâce auquel un chef d'orchestre dialogue avec des interprètes et élabore une composition musicale et visuelle en temps réel.
Vous aimez chanter, danser, bouger… venez participer à une composition collective semi-improvisée.
Pour préparer la performance, les participants sont invités à assister à un atelier d’initiation au Soundpainting animé par Christophe Cagnolari de la compagnie Anitya.
La participation (gratuite) est ouverte à tous les adultes et adolescents ; aucune compétence préalable n'est requise.
Informations pratiques :
Répétition / initiation : au choix mardi 30 ou mercredi 31 mars 2010 de 19h30 à 21h30
Salon de musique de la Friche Belle de Mai (1er étage dans la tour en entrant dans la friche à gauche, côté 41 rue Jobin, 13003 Marseille)
Performance : mercredi 7 avril à 12h à Marseille / durée 15 minutes / rendez-vous à 11h pour une répétition générale (le lieu de rendez-vous sera communiqué pendant l’atelier)
Inscriptions :
Lieux publics – Centre national de création
communication@lieuxpublics.com
04 91 03 81 28 (pôle communication)
Préparation:
Il est demandé aux participants de choisir et d'apprendre une strophe ou quelques lignes de La Marseillaise (outre la première strophe et le refrain que nous connaissons tous pour les avoir chantés au stage, aux tournois internationaux de pétanque et lors des cours de chant à l'école...)
Retrouvez les paroles en cliquant sur ce lien:
http://www.anitya.fr/marseillaise/participation.html
Plus d’informations sur le Soundpainting:
www.soundpainting.com
Inscription à :
Articles (Atom)